L’océan représente 70.8% de la planète : un vaste espace encore mal connu.
L’enjeu de la thèse de Perrine est de s’appuyer sur différents types d’observation acquises sur l’océan (images satellites, bouées, bateaux…), de les combiner et les valoriser grâce à l’intelligence artificielle pour mieux comprendre les phénomènes physiques en place.

Mathilde est doctorante en sciences mécanique à ENSTA Bretagne / IRDL (thèse CIFRE* Naval Group)
Sa thèse vise à contribuer au développement de nouvelles méthodes de dimensionnement pour les hélices marines de nouvelle génération obtenues par impression 3D arc-fil.

Dans sa thèse, Pierre-Yves cherche à identifier à quel moment et de quelle manière une fissure apparait entre deux matériaux très différents : du métal et un élastomère (du caoutchouc par exemple). L’application directe étant les pneumatiques, il réalise des expérimentations sur des échantillons représentatifs de roues de véhicules afin d’étudier les ruptures d'interface entre la partie rigide (câble ou carcasse) du pneu et la partie souple (la gomme).

Hugo a choisi d’associer son intérêt pour les mathématiques à une meilleure connaissance de l’environnement. Actuellement doctorant dans le domaine des ondes acoustiques en milieu marin, il utilise l’intelligence artificielle pour définir automatiquement l’origine des ondes captées.

Que se passe-t-il dans un canon lorsque le projectile est lancé ?
A cet instant, les phénomènes physiques s’affolent et s’enchaînent : température, pression, vitesse…