Le président de l’Institut Polytechnique de Paris s’est rendu le 19 février à l’ENSTA Bretagne à Brest. Cette visite s’inscrit dans le projet de fusion d’ENSTA Paris et d’ENSTA Bretagne qui se concrétisera en 2025. Une transformation vers une ENSTA aux compétences élargies, à deux campus, qui s’accompagne de l’entrée de disciplines nouvelles au sein d’IP Paris, notamment l’ingénierie maritime ainsi que différents autres thèmes scientifiques qui répondent à de nombreux enjeux industriels.
Thierry Coulhon s’est rendu sur le campus d’ENSTA Bretagne à Brest accompagné de Laurent Giovachini, président d’ENSTA Paris et nouvellement nommé président par intérim d’ENSTA Bretagne, d’Elisabeth Crépon, directrice générale d’ENSTA Paris, de Laurent El Kaim, directeur adjoint de la formation et de la recherche d'ENSTA Paris, et de Jean-François Semblat, responsable du département de mécanique et d’énergétique de l’IP Paris. Ils ont été reçus par Bruno Gruselle, directeur général d’ENSTA Bretagne, et ses équipes. François Houllier, président directeur général d’Ifremer les a rejoints pour participer aux échanges de l’après-midi.
Le Président d’IP Paris a visité l’école et son centre de recherche, notamment le laboratoire en sciences mécaniques (IRDL) et le laboratoire des sciences et technologies de l’information (Lab-STICC). Il a apprécié l’originalité du campus brestois très fortement tourné vers l’ingénierie marine, les grands systèmes de défense & sécurité et les hautes technologies industrielles en matière de mobilité, d’énergie, d’aérospatiale et de technologies numériques embarquées.
Cette visite intervient dans un contexte où les deux ENSTA, écoles sous statuts d’EPSCP-GE sous tutelle du ministère des Armées, préparent leur fusion dont le premier rendez-vous sera la fusion administrative au 1er janvier 2025 suivi par une première rentrée pour le cycle ingénieur commun en septembre 2026.
La nouvelle ENSTA, combinera au sein d’IP Paris les forces et les expertises des deux ENSTA sur ses campus de Brest et Palaiseau pour répondre aux grands enjeux contemporains, industriels et sociétaux, dans les secteurs de souveraineté : défense et sécurité, énergie, transports et mobilités, santé, mer et numérique.
